Les voitures automobiles anciennes et les véhicule anciens de collection, v2.
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Mercedes-Benz 190 SL, voiture routière de 1955
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La Mercedes-Benz 190 SL, cette ancienne voiture automobile Sportive de prestige Roadster 2 places coupé/cabriolet fut construite en 1955.
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Mercedes-Benz 190 SL, Années de production 1955 - 1963, Production 25 881 exemplaires, Classe Sportive de prestige, Moteur 1,9 L, Puissance maximale 105 ch, Couple maximal à 3 200 tr/min 145 N m, Transmission Propulsion, Poids à vide 1 150 kg, Vitesse maximale 175 km/h, Accélération 0 à 100 km/h en 14,5 s, Carrosserie Roadster 2 places coupé/cabriolet.
La Mercedes 190SL appellation interne W121 BII sur châssis monocoque R121 est un modèle d’automobile du constructeur allemand Mercedes-Benz, roadster coupé cabriolet, construite de 1955 à 1963, dérivée de la Mercedes-Benz 300SL et entrée depuis dans la légende des automobiles de collection de prestige.
Les 190SL et 300SL des années 1950 sont les premiers modèles de la mythique série des roadster SL (SL pour "Sport Light") de Mercedes-Benz.
La 190SL a comme but premier de pouvoir offrir une version "light" de sa « grande sœur », la 300SL Gullwing, pour une utilisation plus « de tous les jours » et donc a fortiori à un prix moindre. Même si la performance s'avère significativement différente (105 ch par rapport aux 215 ch pour la 300SL), près de 26 000 exemplaires seront produits.
Elle est extrêmement bien construite, facile d'entretien, et on estime que près de la moitié des 190SL fabriqués roulent encore aujourd'hui.
L'appellation interne de Mercedes-Benz de la 190SL est W121 BII ou W121 B2 (pour W121 2e série) pour la distinguer des berlines W121 "Ponton" (1re série) produites de 1953 à 1962. Cette confusion provoque de temps en temps l'appellation interne R121 ou R121a avec un "R" comme "Roadster". Cette deuxième appellation ne sera en revanche jamais officielle sauf pour faire référence au châssis de la 190SL dont le châssis est raccourci.
On notera que les deux séries de W121, même si de carrosseries radicalement différentes, partagent de nombreuses pièces détachées (phares et optiques arrière, suspensions, roues, etc.), la "Ponton" ayant été modifiée pour servir de structure à la 190 SL.
En septembre 1953, l'importateur aux États-Unis de Daimler-Benz, Maximilien Hoffman, arrive à convaincre la maison-mère à Stuttgart de tabler sur la conception de deux nouveaux modèles de véritables voitures de sport tirés du coupé 300SL (gullwing), qui, remportant la Carrera Panamericana, a obtenu une attention très spéciale de la part des Américains. Par ailleurs, Hoffman souhaite alors compléter une gamme Mercedes-Benz très conservatrice.
Pour cela, la maison mère, en collaboration avec sa filiale américaine, décide de créer deux cabriolets, dits de « tourisme sportif » afin d'offrir « un usage quotidien pratique : une version de la 300SL gullwing en version cabriolet, et une version plus petite, la 190SL.
Afin d'éviter les coûts élevés de la production de la 300SL, la 190SL va devoir significativement se différencier de sa grande sœur. Pourtant, grâce à l'œuvre des designers de la maison Karl Wilfert et Walter Hackert, Mercedes réussit à créer une automobile qui reste très similaire esthétiquement à la 300SL mais plus petite de 30 cm et, surtout coûtant le tiers de son prix. À la fin de 1953, Hoffman reçoit de Stuttgart la promesse que 2 prototypes (un de la 300SL en version cabriolet et un autre de la 190SL) seront présentés à New York au « Salon International de l'Auto » le 6 février 1954.
Malgré les cinq mois à peine de développement entre septembre 1953 et février 1954, Mercedes réussit un vrai tour de force et ses deux prototypes connaissent un accueil triomphal au salon de New York aussi bien par le public que par la presse américaine.
Le développement de la 300SL cabriolet demandant moins de modifications par rapport à la 300SL gullwing, il est immédiatement approuvé en interne à la suite du Salon de New York, de sorte que la production de la 300SL cabriolet commence dès août 1954.
La 190SL reste encore trop chère à la vente dans sa configuration de février 1954 et est donc révisée au cours de l'année avec notamment un châssis monocoque W121 raccourci (nommé châssis R121) et enfin présentée dans sa version définitive en mars 1955 à l'exposition automobile de Genève (Geneva Motor Show).
Grâce au succès rencontré à Genève, la production en série de la 190SL est approuvée et commence deux mois plus tard en mai 1955 à l'usine de Sindelfingen sur la même chaine de montage que la 300SL.
Même à prix réduit par rapport à leur grande sœur (la 300SL), les 190SL restent chers pour le marché automobile européen qui en 1955, année de sortie du modèle, est encore en pleine reconstruction à la suite de la Seconde Guerre mondiale. Par ailleurs, en 1955, le déficit d'image de l'Allemagne persiste et nuit à Mercedes-Benz qui a quelques difficultés à vendre ses véhicules en Europe hors Allemagne.
Les modèles sportifs de rêve tels les 300SL et 190SL sont d'ailleurs là pour enrayer cette négativité, mais ils sont naturellement conçus avec le marché américain en tête et vendus quasi exclusivement vers ce marché (>80 % de sa production).
On notera la très grande présence de chromes extérieurs pour plaire au marché US, une présence atypique chez Mercedes et qui diminuera drastiquement sur les modèles suivants lorsque la répartition des ventes US/Europe sera plus équilibrée.
Cette disproportion des ventes vers le marché américain explique aussi la relative rareté du véhicule aujourd'hui en Europe, même si depuis quelques années, avec l’internationalisation des ventes aux enchères de voitures de collection, beaucoup de 190SL ont été réimportées vers l'Europe.
Contrairement au modèle 230SL qui lui succédera, la 190SL vendue aux États-Unis ne présente aucune différence par rapport à sa version européenne si ce n’est le compteur de vitesse en Mph. En effet, l’optique du feu arrière avec la partie du clignotant en jaune n'est offert par Mercedes qu’en pièce détachée de remplacement pour le marché européen (l’optique arrière d’origine étant bien rouge, blanc, rouge des deux côtés de l’Atlantique).
Le porte-plaque minéralogique arrière est revanche de taille européenne même pour les véhicules vendus aux US car cela donnait un "European feel".
Il est prévu que la 190SL puisse atteindre les 190 kilomètres par heure. Dans la pratique, la vitesse maximale est plutôt de 175 km/h, performance très élevée en 1955, mais qui permet de mieux la différencier de sa grande sœur la 300SL qui elle peut atteindre les 200 km/h.
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Histoire Chronologique de l'ancienne marque automobile " Mercedes-Benz ", Allemagne 1926 - ....
Karl Benz est célèbre dans le monde entier pour avoir créé et fabriqué, en 1885, la première automobile mue par un moteur à combustion interne.
En 1886, Benz met en chantier un deuxième moteur plus puissant puis construit en 1888 une version améliorée de ce modèle qui atteint 16 km/h.
Emile Roger, de Paris, commande des moteurs et des pièces détachées qu'il monte en France sous la marque Roger-Bern.
Après 1901, la vente des voitures décline devant la montée des marques concurrentes, principalement Daimler et son modèle Mercedes.
En 1903, Karl Benz quitte la société à la suite d'un différend sur la paternité de la Parsifal. Il y revient peu après et associe ses fils à l'entreprise en 1906.
En 1924, Benz et Daimler mettent leurs intérêts en commun avant de fusionner en 1926.
La Benz 16/50 ch et les Mercedes à compresseur continuent à être produites quelques temps et les premières Mercedes-Benz sont les six-cylindres Stuttgard 1 988 cm3 et Mannheim 2 968 cm3.
En 1928, paraît la Nürburg 460 équipée d'un huit-cylindres, 4,6 litres et sa suivante, la Nürburg 500.
En 1930 paraît la huit-cylindres Grosser Mercedes avec un moteur de 7,7 litres, 150 ch ou 200 ch avec compresseur.
La 770 de 1938 est montée sur un châssis plus moderne et sa puissance passe à 155/230.
En 1931 , apparaissent des voitures "économiques" dotées de six-cylindres, les modèles 170.
En 1934, Mercedes fabrique à nouveau des voitures de sport dont une huit-cylindres de 354 ch.
La Mercedes-Benz 770 de 1938 est montée sur un châssis plus moderne et sa puissance passe à 155/230.
En 1947, sort la quatre-cylindres 170 à soupapes latérales.
En 1951, sortent les six-cylindres 220 et 300. En 1952, la fabrication des voitures sport reprend avec la six-cylindres 300 SL à injection de 215 ch.
En 1964, Mercedes lance sa célèbre 600, une huit-cylindres de luxe de 250 ch, 6,3 litres.
En 1968, la gamme est modifiée et trois ans plus tard, Mercedes présente vingt et un modèles au Salon dont les quatre-cylindres 200 et 220, leurs versions diesel 200 D et 220 D, les six-cylindres 230 et 250.
La classe C de 1993 remplace la 190.
Son modèle le plus puissant est la C36 AMG de 280 ch, 250 km/h.
La classe E est la gamme intermédiaire et l'une de ses nouveautés est le cabriolet E 36 AMG.
La classe S reste l'étendard de Mercedes.
Son modèle le plus puissant, la S 600, est équipée d'un V12 de 394 ch.....
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